« Ce n'est pas par militantisme que j'ai emménagé dans l'écoquartier du Danube le 30 août 2016. Quelques semaines plus tôt, j'apprenais que j'étais accepté dans une grande école strasbourgeoise.
Je devais alors trouver un logement. Lors de mes recherches sur internet, je tombe sur le projet de résidence étudiante Kellermann et là, c'est le coup de cœur.
Quelques jours plus tard, je visite ce qui sera mon futur chez moi et me retrouve dans un écoquartier, une partie de ville en construction.
Je me suis vite rendu compte que l’idée que je me faisais de ce genre de quartier était fausse. Je pensais cet habitat comme une zone de banlieue, où des gens se regroupent par conviction personnelle. Un genre de radicalisme écolo, où les habitants vivent en marge de la société en prônant la décroissance.
Pourtant ici, à quelques minutes à pied, il y a un cinéma, une médiathèque, un tram... et même... un centre commercial symbole de la société de consommation. Et à un quart d'heure de marche, le centre-ville strasbourgeois et son dynamisme.
Je découvre aussi un quartier densément urbanisé où les projets se multiplient. Mais surtout un nouveau mode de s'approprier la ville : mixité, logement participatif, autopromotion... 18 mois après mon installation, ma vision de ce terme d'écoquartier a totalement changé et m'a amené à m'interroger sur les façons de vivre la ville.
Un quartier qui, lorsque je partirai, sera un passage inévitable lorsque je reviendrai à Strasbourg ? »
Je devais alors trouver un logement. Lors de mes recherches sur internet, je tombe sur le projet de résidence étudiante Kellermann et là, c'est le coup de cœur.
Quelques jours plus tard, je visite ce qui sera mon futur chez moi et me retrouve dans un écoquartier, une partie de ville en construction.
Je me suis vite rendu compte que l’idée que je me faisais de ce genre de quartier était fausse. Je pensais cet habitat comme une zone de banlieue, où des gens se regroupent par conviction personnelle. Un genre de radicalisme écolo, où les habitants vivent en marge de la société en prônant la décroissance.
Pourtant ici, à quelques minutes à pied, il y a un cinéma, une médiathèque, un tram... et même... un centre commercial symbole de la société de consommation. Et à un quart d'heure de marche, le centre-ville strasbourgeois et son dynamisme.
Je découvre aussi un quartier densément urbanisé où les projets se multiplient. Mais surtout un nouveau mode de s'approprier la ville : mixité, logement participatif, autopromotion... 18 mois après mon installation, ma vision de ce terme d'écoquartier a totalement changé et m'a amené à m'interroger sur les façons de vivre la ville.
Un quartier qui, lorsque je partirai, sera un passage inévitable lorsque je reviendrai à Strasbourg ? »
Johan