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Le Collectif Danube devient l’association EDEN


Écoquartier Danube - Énergies Nouvelles (EDEN) est le nom de l’association qui réunit les membres du collectif Danube.  L’Assemblée Générale Constitutive a eu lieu le 12 septembre dernier. C’est un pas important pour le collectif, qui pourra asseoir ses actions sur une structure officielle.

Mercredi 12 septembre au soir, sur le terrain vague situé entre l’Ère Végane et la résidence étudiante Kellermann, une dizaine de volontaires du collectif Danube se sont réunis autour d’une table de fortune.

Avec très peu de moyens et beaucoup d’enthousiasme, ils participaient à l’Assemblée Générale Constitutive de l’association qui sera désormais la structure qui portera le collectif.

Le nom de l’association, EDEN, pour « Écoquartier Danube - Énergies Nouvelles », est en soi tout un programme. L’évocation du paradis, autant pour le jardin qui deviendra l’écoquartier que pour le projet de bâtir un mode de vie heureux et durable. Si EDEN n’espère pas l’éternité, au moins veut-il installer un petit coin de paradis sur Terre.

Mobilité, biodiversité et vivre ensemble
L’objet de l’association s’articule autour de trois valeurs : mobilité soutenable, biodiversité et vivre ensemble. Dans ce but, elle s’engage à «animer ou soutenir les actions visant à améliorer la qualité de vie du quartier, protéger l’environnement et la biodiversité, la nature, exprimer les suggestions et critiques des résidents, de représenter et promouvoir leurs intérêts collectifs». S’y ajoute la volonté de «créer des liens et d'encourager la convivialité entre les habitants afin qu’il soit agréable d’y vivre».

L’énergie nouvelle de l’association est une énergie positive. Il s’agit «d’agir, pas de gémir», comme le dit Brice Lalonde, ancien Ministre de l’Environnement.

 

Un collectif déjà très actif

Les activités du collectif se développent : après l’organisation d’une journée «portes ouvertes», les apéros de saison sont maintenant bien rodés. Le journal "Échos quartier Danube", la newsletter éponyme et la page Facebook sont appréciés et lus par les habitants.

Le jardin partagé, au pied de l’immeuble Quatre-O-Danube, accueille de plus en plus de curieux. Un projet d’aménagement participatif d’un espace public voit le jour avec la démarche ZAO (Zone à Occuper) qui va permettre des expérimentations sur plusieurs mois.

Au fil de l’achèvement du quartier, de nouvelles activités créeront du lien entre les habitants et susciteront une dynamique de changement de comportements vers un mode de vie soutenable.

Pour faire cela, il fallait que le collectif se structure en association, cadre juridique nécessaire pour ses actions et pour qu’il puisse être l’interlocuteur d’entreprises ou de collectivités.

Pour devenir membre de l’association et/ou obtenir ses statuts, nous écrire à : collectif.danube@gmail.com

Fête en terrasse

L'apéro d'été a eu lieu fin juin sur la terrasse partagée du "Belved'air".

Un immeuble assez central du quartier, que l'on pouvait trouver en suivant les flèches tracées à la craie dans les rues périphériques, tel un jeu de piste.

C'était la première fois que ce moment convivial se passait « chez quelqu'un ».

Souad, Najoua, Léa et les enfants recevaient sur « leur » terrasse, avec bienveillance et chaleur.

Les mêmes têtes que d'habitude ?

Pas seulement. Des nouvelles aussi. Tous bien contents de se retrouver au sommet du Belvéd'air, en cette douce fin d'après-midi de l'été naissant.

Mesdames Lucie et Édith ont fait le déplacement depuis l'EHPAD.



Il y avait aussi, notamment, une délégation de la tour Elithis, de futurs habitants des projets Boulle et Bélandre.

Jérémie et l'équipe de la boulangerie La passion des délices, dont les fameux kouglofs garnissaient le buffet, étaient présents.

Et bien sûr, la belle équipe de l'Arche, emmenée par Veronika, a assuré une bonne partie de l'animation.

C'est le coucher du soleil qui a mis fin à cet agréable moment de retrouvailles et de découvertes.

Après le polar, le roman d’écologie

Un nouveau genre littéraire est né : le roman d’écologie. Au point d’avoir son prix littéraire, décerné pour la première fois en avril dernier. Le rapport de l’homme au développement et à la nature est très présent dans la littérature. Les initiateurs de ce nouveau genre, et de son prix littéraire, sert à rapprocher le lecteur de la pensée écologique.


Pour Lucile Schmid, élue EELV d’Île de France est co-fondatrice de l’association le Pré, pour le Prix du Roman d’Écologie. Pour elle, “la littérature permet d’associer la quête intime, les rêves et l’invention du monde”.

L’écologie mise en intrigue “ne prend pas la nature comme décor, mais l’homme comme partie d’un tout qui le dépasse, pour le meilleur et pour le pire”.

En instituant un genre, proche du  "Nature writing” américain mais peut-être plus critique, le Pré pourrait contribuer à faire progresser la pensée écologique.

Pour Lucile Schmid, “c’est par ses qualités littéraires qu’un roman d’écologie touche, révèle et donne de nouvelles raisons de penser et d’agir autrement”.

Premier prix pour le premier concours

La première remise de prix a eu lieu le 10 avril dernier à Paris. Six romans ont été sélectionnés. La lauréate est Emmanuelle ­Pagano pour le roman “Saufs riverains”, édité chez POL, deuxième volume de sa “Trilogie des rives” qui traite de la relation de l’homme et de l’eau. Il décrit la submersion, en 1969, de la vallée du Salagou, dans l’Hérault.


Écrire pour témoigner de l’invisible

Une première initiative a permis à quelques habitants d’écrire ce qu’ils vivent et ressentent au quotidien dans notre nouveau quartier en devenir.

La littérature permet de voir ce qu’aucune étude ne peut montrer. Pourrions-nous poursuivre ce travail d’écriture en chemin et créer un “ testament ” et pourquoi pas un recueil de nouvelles sans convoiter un prix, ce serait une façon de contribuer à renouer avec la nature.


Pour en savoir plus :
prixduromandecologie.fr

Le Labo Danube inaugure ses locaux

Une offre de soins médicaux et de santé de proximité et à visage humain.

Le laboratoire d'analyses médicales Danube (à proximité du Vaisseau) a été inauguré le 20 septembre dernier.

Ouvert depuis le 4 décembre 2017, il fait partie du groupe Biolia qui regroupe 20 laboratoires répartis sur toute l’Alsace. 


Ce réseau de professionnels indépendants de la biologie médicale tient à offrir un service de santé de qualité,  éthique, de proximité et à l'écoute du patient.

L'équipe médicale comprend une secrétaire médicale, une technicienne de laboratoire, des infirmières et deux responsables, biologistes médicaux, les docteurs Fornoff et Filali.

Le choix de venir s’installer dans l’écoquartier Danube a été motivé par la volonté de proposer une offre de soins dans ce « quartier d’avenir de notre capitale alsacienne » en termes d’écologie et d'innovation, précise le Dr Filali.

 
En quoi consiste votre métier de biologiste ?

Je suis diplômé de la Faculté de Pharmacie, niveau BAC + 10 (6 années d'études et 4 années d'internat de spécialisation dans les hôpitaux). Mon rôle est de manager l'organisation du laboratoire,  d'encadrer la réalisation des prélèvements et des analyses, d'interpréter les résultats biologiques aux patients et aux prescripteurs et de recommander des prises en charges ou des examens complémentaires.

Pour nous, il est important de prendre le temps de bien expliquer et conseiller le patient et aussi de favoriser les relations avec d'autres professionnels de la santé, tels les cabinets de radiologie et des chirurgiens, d’ailleurs installés dans le même  bâtiment.

Quels types d’examens médicaux peuvent êtres réalisés dans votre laboratoire ?

Nous réalisons des examens biologiques sur divers types de prélèvements : essentiellement des prises de sang, mais aussi des analyses sur d'autres recueils biologiques (urines, selles, etc.). 
Nous effectuons également des prélèvements au domicile des patients.

Le laboratoire Danube est situé au 35A avenue du Rhin, il est ouvert du lundi au vendredi de 7h à 12h30 et de 13h30 à 18h ; les samedis de 7h30 à 12h.

Contact :
tel. 03 88 87 63 77
email : laboratoiredanube@biolia.fr
site internet : www.biolia.fr
application smartphone Biolia
facebook : Laboratoires de Biologie Médicale Biolia




Astuces culinaires


Astuces pour réutiliser les aliments périmés ou très abîmés :

- Fruits et légumes : smoothies, compotes, agrémenter les gâteaux, faire sécher pour des barres de céréales ou du granola

- Pain : pain perdu, chapelure (le mixer pour faire un crumble ou des nuggets), pudding, le passer rapidement sous l'eau et le mettre au four pour qu'il soit à nouveau frais.

- Yaourt périmé de moins de 5 jours : gâteau au yaourt

Astuces pour utiliser des aliments en trop :

- Le blanc d’œuf pourra servir pour réaliser : des meringues, des macarons, des financiers, un gâteau aéré, une mousse au chocolat, des langues de chat.

- Les pâtes : gratin de pâtes, gâteau de pâtes au four, soupe de pâtes (mixer et ajouter de la crème et du bouillon de légumes).

- Le riz : sushis, salade de riz, riz au lait, riz cantonnais, galettes de riz aux légumes.

- La semoule : salade, couscous, gâteau de semoule, croquettes.

Source : Livre "Défi anti-gaspi" de Laetitia Birdes.



Recette du " Lait végétal "

Pour fabriquer un excellent lait végétal plein de vitamines il faut :
une trentaine d’amandes, 2 pincées de noix de coco râpée, et 1 c. à s. de graines de chia.

Préparation :

Laisser tremper une nuit.
Mixer à l’aide d’un mixeur plongeant.
Passer au tamis fin.

Que faire avec de l’okara ?

Le résidu du lait végétal , connu comme l'okara, peut remplacer le parmesan.

Mélanger le résidu avec de la levure de bière maltée et un peu de fleur de sel; peut être intégré dans un cake, sucré ou salé en remplacement d’une part de farine.


En images... (suite)



1. EHPAD Danube - rue de l'Elbe

2. Tour Elithis - rue Edmond Michelet
3. Epure - rue Alfred Kastler
4. Nouveau Logis de l'Est - rue Edmond Michelet

5. Parking Danube Vert - rue Alfred Kastler

6. Pharied - Passage de la Gosseline

Histoires d'O

Quand on n’a pas d’eau…. On a des idées !

Une fuite ? quel gâchis; alors qu’à quelques mètres de là, le jardin partagé souffre de sécheresse.

L’idée n’est pas longue à germer. Hop ! une bassine, 2 arrosoirs et des petits récipients.

Les petites gouttes les remplissent en quelques quatre heures… comme le biberon de bébé !

Après, tout ce n’est qu’une question de motivation... quelle satisfaction d’arroser abondamment nos plans de tomates très fatigués de lutter pour survivre dans les bacs asséchés.

Maintenant la végétation luit de bonheur. Il n’y a pas à douter, quand le thermomètre frise la quarantaine et que nos yeux captent des images d’eau et de fraîcheur, le corps s’en trouve rafraîchi : c’est la « psychologie visuelle » !


Quand on n’a pas (encore) d’eau pour le jardin partagé… on a des idées !

Chouette un orage.

Patauger dans l’eau ? un rêve d’enfant …  mais « pas que » !

Les nids de poule se remplissent vite. Ils deviennent  presque des mares…
Il suffit d’un petit grain de folie…
(très contagieux).

Une pensée pour la fleur qui fane ou le plant de potiron jaunissant pendant les semaines sèches

Et l’idée de récupérer cette manne tombée du ciel s’impose !

Hop on met les bottes… ou des sandales amphibies, on attrape quelques seaux, les voisins arrivent, les petits bras remplissent les récipients, les gros bras s’occupent du transport vers le jardin partagé.



Quelle satisfaction de voir la cuve remplie à ras-bord !

Le soleil est revenu.

A quand la prochaine pluie ?

Edithe