Quand nous pensons aux gestes éco-citoyens, nous avons tendance à oublier notre boîte e-mail remplie de centaines de courriels non lus, ces milliers de photos des dernières vacances qui attendent sur un cloud, ces serveurs qui chauffent à l’autre bout de la planète quand on décide de regarder des séries sur Netflix.
Le web, qui a pris une part si importante dans nos vies, serait même responsable de plus de 2% des émissions mondiales de gaz à effet de serre (GES), selon l’association Gesi.
Quelles solutions ?
Heureusement, il existe un certain nombre d'initiatives qui visent à inverser la tendance !
- Éviter d’envoyer des mails avec de trop grosses pièces jointes.
- Vider sa boîte e-mail régulièrement : votre corbeille, vos emails envoyés et de manière générale tout stockage inutile ou en double dans des centres de données.
- Quant aux mails publicitaires que nous ne lisons jamais, n’hésitez pas à vous désinscrire de la liste de leurs destinataires, en installant un filtre antispam ou grâce au site Unroll.Me notamment.
- Regarder un film en basse définition permet par exemple de consommer quatre à dix fois moins d’énergie qu’un visionnage du même fichier en haute qualité graphique.
- Utiliser un moteur de recherche solidaire : Lillo, moteur de recherche français, utilise les algorithmes de Yahoo, Google, etc., pour récupérer l’argent des liens commerciaux générés afin de les reverser (à 50 %) à des projets sociaux ou environnementaux.
Lillo compense ses émissions de GES grâce à certains projets de compensation carbone. Le tout en protégeant notre vie privée. Lillo a aussi lancé sa boîte e-mail « qui réduit votre impact carbone ».
Autre possibilité : Ecosia qui plante des arbres grâce aux revenus publicitaires générés par les recherches !
De belles initiatives qui allient écologie et économie sociale et solidaire. En quelques clics.
Source : Libération du 29/11/2017 « Réduire son empreinte écologique sur Internet, c'est simple » par Aude Massiot.
- Éviter d’envoyer des mails avec de trop grosses pièces jointes.
- Vider sa boîte e-mail régulièrement : votre corbeille, vos emails envoyés et de manière générale tout stockage inutile ou en double dans des centres de données.
- Quant aux mails publicitaires que nous ne lisons jamais, n’hésitez pas à vous désinscrire de la liste de leurs destinataires, en installant un filtre antispam ou grâce au site Unroll.Me notamment.
- Regarder un film en basse définition permet par exemple de consommer quatre à dix fois moins d’énergie qu’un visionnage du même fichier en haute qualité graphique.
- Utiliser un moteur de recherche solidaire : Lillo, moteur de recherche français, utilise les algorithmes de Yahoo, Google, etc., pour récupérer l’argent des liens commerciaux générés afin de les reverser (à 50 %) à des projets sociaux ou environnementaux.
Lillo compense ses émissions de GES grâce à certains projets de compensation carbone. Le tout en protégeant notre vie privée. Lillo a aussi lancé sa boîte e-mail « qui réduit votre impact carbone ».
Autre possibilité : Ecosia qui plante des arbres grâce aux revenus publicitaires générés par les recherches !
De belles initiatives qui allient écologie et économie sociale et solidaire. En quelques clics.
Source : Libération du 29/11/2017 « Réduire son empreinte écologique sur Internet, c'est simple » par Aude Massiot.