À tou(te)s les adeptes des cubes de bouillon industriel, à la composition plus ou moins douteuse, je propose une solution de remplacement antigaspi : le bouillon de légumes ou de poulet maison. Rien de plus simple !
Il vous suffit de conserver au congélateur vos épluchures de légumes et aromates, préalablement lavés : pelures et rebuts d’oignons jaunes ou rouges, d’échalotes, d’ail (en veillant à ôter le germe), de courges, de carottes, de céleri boule et de navets ; verts et pieds de poireaux ; tiges de persil et de céleri branche ; cœurs et feuilles flétries de salade verte...
Évitez simplement les épluchures de pommes de terre qui peuvent libérer une substance toxique, les feuilles vertes (épinards, choux, etc.) qui apporteraient de l’amertume et les fanes que vous pouvez utiliser en pesto ou dans un appareil à quiche. Pensez également à la carcasse du poulet du dimanche.
Le jour où le cœur vous en dit, prenez votre plus grande cocotte, mettez-y épluchures et carcasse, ajoutez-y des épices selon votre goût (gros sel, poivre en grains, graines de coriandre, de moutarde ou de fenouil, deux ou trois clous de girofle, quelques branches de thym, des feuilles de laurier, ciboulette, sauge, romarin…), recouvrez d’eau et laissez réduire deux à quatre heures, selon que vous souhaitez un bouillon plus ou moins concentré. Attention, ne portez jamais le mélange à ébullition.
Après quoi, il ne vous reste qu’à filtrer pour ne récupérer que le bouillon, que vous congèlerez ensuite dans des bacs à glaçons ou dans des moules à muffins et utiliserez ensuite pour vos soupes, risottos et autres délicatesses. Bon appétit !
Il vous suffit de conserver au congélateur vos épluchures de légumes et aromates, préalablement lavés : pelures et rebuts d’oignons jaunes ou rouges, d’échalotes, d’ail (en veillant à ôter le germe), de courges, de carottes, de céleri boule et de navets ; verts et pieds de poireaux ; tiges de persil et de céleri branche ; cœurs et feuilles flétries de salade verte...
Évitez simplement les épluchures de pommes de terre qui peuvent libérer une substance toxique, les feuilles vertes (épinards, choux, etc.) qui apporteraient de l’amertume et les fanes que vous pouvez utiliser en pesto ou dans un appareil à quiche. Pensez également à la carcasse du poulet du dimanche.
Le jour où le cœur vous en dit, prenez votre plus grande cocotte, mettez-y épluchures et carcasse, ajoutez-y des épices selon votre goût (gros sel, poivre en grains, graines de coriandre, de moutarde ou de fenouil, deux ou trois clous de girofle, quelques branches de thym, des feuilles de laurier, ciboulette, sauge, romarin…), recouvrez d’eau et laissez réduire deux à quatre heures, selon que vous souhaitez un bouillon plus ou moins concentré. Attention, ne portez jamais le mélange à ébullition.
Après quoi, il ne vous reste qu’à filtrer pour ne récupérer que le bouillon, que vous congèlerez ensuite dans des bacs à glaçons ou dans des moules à muffins et utiliserez ensuite pour vos soupes, risottos et autres délicatesses. Bon appétit !